Arrosage automatique : lequel choisir ?

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L’utilité d’un arrosage automatique se passe unanimement de commentaire. Cela dit, choisir le meilleur modèle qui soit n’est pas à la portée de tout le monde. Il y aura quelques détails techniques à décrypter. C’est la raison d’être de ce guide d’achat. Nous reviendrons surtout sur les différents modes de fonctionnement des arroseurs automatiques.

L’arrosage automatique goutte à goutte

Très économique, l’arrosage automatique goutte à goutte convient aux plantes ayant besoin d’être humidifiées en douceur, mais sur une durée étendue. Ce système avec une zone d’action localisée convient aux haies vives, aux légumes ou bien aux massifs de fleurs. Quoi qu’il en soit, la croissance de la plante sera constante alors que le débit d’eau reste le minimum possible. Ceci étant, ce modèle d’arrosage pose un souci esthétique à cause d’un grand nombre de tuyaux qu’il faudra déployer.

Les arroseurs automatiques enterrés

Avec l’arrosage automatique enterré, l’eau est répartie uniformément. Ce qui en fait un excellent système pour le gazon. Toute la pelouse jouira d’une quantité d’eau équitablement dispersée. Les têtes d’arrosage peuvent même être escamotables. En effet, toute la tuyauterie restera enterrée pour une discrétion totale. La portée des tuyères change d’un produit à l’autre. Généralement, le rayon d’arrosage se situe entre 4,5 m et 10 m. Le seul hic de ce système reste sa laborieuse installation qui demande d’enterrer plusieurs mètres de tuyauterie.

Le fonctionnement de l’arroseur par micro aspersion

Pour arroser la surface, la micro aspersion constitue un excellent choix. L’eau est dispatchée sous forme de fines gouttelettes. Cette pluie artificielle convient particulièrement aux plantes qui ont tendance à être sensibles. Les espèces délicates telles que les orchidées auront besoin de cet important apport en eau. Pourtant, il y a toujours un point négatif. A la différence de l’arrosage goutte à goutte qui vise exclusivement les racines, l’aspersion touche aussi les feuilles. Ainsi, les champignons et autres microorganismes vont aussi en profiter.

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